dimanche 2 novembre 2008

Au Cap 12: avant novembre, l'apothéose









13 commentaires:

Fefille a dit…

wouhou ! c'était joli ça...

McDoodle a dit…

La "branches" me fait vraiment flipper.
Elle m'a tout de suite fait penser à la peinture de Schiele, un de mes préférés. Ses paysages, bien sûr :)

Miléna a dit…

Doodle: oh! J'avais pas vu ça. Merci, c'est un super compliment. Je l'aime bien moi aussi, cette photo. Le tracé de deux larmes versées par ma rivière, sur un gros rocher tout sec. Prise de la forêt des coyotes avec mon ultra zoom. :0)

Mek a dit…

Miléna ! Miléna ! C'est ma-gni-fique. À couper le souffle. Merci.

Anonyme a dit…

Mil,
Tes images sont superbes en effet, elles rendent vraiment justice à la beauté de notre domaine. Mais je ressens un léger vertige en les admirant, car elles sont annonciatrices de dizaines d'heures de râtelage à venir, et de ô combien de lundis courbaturés.
Quand c'est la fête, la maisonnée grouille d'amis, mais au moment de sortir les râteaux, il ne reste plus que toi. Merci d'être là.
M*

Miléna a dit…

M*: JE SAIS! Je ne suis pas encore remise de ma tendinite de cordage de bois! Stie!

Moi aussi j'appréhende le râtelage... on dirait qu'on vient juste de finir celui du printemps passé.

On peut organiser une fin de semaine "apportez votre rateau". On a juste à remplir un tonneau de bière et à confier la garde des mômes aux ados... :0)

Mek a dit…

Voici. Les feuilles tombent. Avec la pluie, elles commencent leur décomposition. Sous la neige, elles deviennent un des meilleurs composts de l'histoire de l'univers. Au bout de quelques semaines au printemps, leurs chairs sont entièrement absorbées par le terreau et il n'y paraît plus. Pas de tendinites, pas d'engrais au magasin, pas de râteaux.

Miléna a dit…

É: On n'a pas dit qu'on les brûlait, les feuilles. Ni qu'on en faisait d'énormes sacs oranges. On les barouettait dans la coulée. Ça fait plus propre, tsé? :0)

Anonyme a dit…

&: Ce que nous avons pu observer, au printemps dernier, c'est que les feuilles d'érable ne présentent pas le moindre signe de décomposition. Leur tapis est si dense qu'il ne laisse transpercer aucun espoir de verdure. Nous en faisons du compost certes, mais encore faut-il réunir les feuilles puis les transporter à coup de centaines de voyages de brouette jusqu'à la compostière.
Je me propose néanmoins l'an prochain d'expérimenter ta suggestion. Nous conserverons une zone non râtelée, que nous appellerons le Carré d'&. Aimerais-tu que nous te dédions une zone d'ombre ou de soleil? Une vue sur un plan d'eau ou sur la forêt?
M*

Mek a dit…

Ah, ah, ah ! Je me suis justement dit, un peu plus tard, en marchant dans la pluie : « Stie, Ric, TA YEULE ! » Eh, eh, eh. Je prendrai le carré qu'on me donnera. J'aime tout.

Doparano a dit…

m* T'as pas un beau frère qui ramasse les feuilles pour les composter? sois Wise et invite sa charmante famille à vous aider et dis lui qu'en récompense il pourra rapporter le fruit de son labeur dans sa magnifique campagne.

Miléna a dit…

Pas pantoute ta yeule, É. Tes suggestions sont de bon aloi. Nous choisirons le plus beau spot pour toi. Peut-être un coin où traversent les chevreuils, tiens. Ou une zone mi-ombragée près du jardin de fleurs sauvages. :0)

Mek a dit…

« Ta yeule, Ric. » Pass j'aime pas dire aux gens quoi faire.